Installée au cœur du parc, l’œuvre se déploie comme une respiration silencieuse Entre Terre et Ciel. 

Tel un miroir tendu, reflétant la lumière changeante et le souffle du vent, elle crée un pont entre les mondes.

Façonnée sur une loupe de hêtre, la surface naturelle du bois révèle ses veines et sa profondeur, sublimée par la dorure à la feuille de palladium. Cette « dorure » transforme la matière organique en une surface lumineuse et vibrante, qui capte et restitue la lumière .

Gratitude envers le vivant, envers les cycles de transformation et de régénération. Gratitude silencieuse envers une âme. 

Cette sculpture ne s’impose pas au paysage : elle en devient une évidence. Elle dialogue avec le lieu, avec la lumière et le temps, et devient un témoignage de l’attention portée à ce qui nous dépasse.

Elle incarne la rencontre sacrée Entre Terre et Ciel.

Collection privée – Bruxelles

Année : 2025